San Francisco et retour
San Francisco et retour

San Francisco et retour

16e jour – 20 juillet

On n’en a pas fini avec Yosémite, il reste les séquoias géants !! Dès le matin retour dans le parc pour cette partie. Impressionnant, la base de ces arbres est immense, la taille un peu moins, certaines cimes s’étant brisées de puis bien longtemps. Cela valait le détour.

Le Grizzly, un des plus vieux séquoias du parc (entre 2000 et 3000 ans)
Il a fallu faire la queue pour pouvoir poser

Puis départ pour notre dernière destination : San Francisco. Tout voyage a une fin et il nous reste 2 jours pour en profiter. Passage par le Golden Gate qui s’avère être le Bay Bridge, quelle déception.

Perception de la chambre d’hôtel en plein centre ville, on profite de la soirée pour visiter et pour se payer un copieux restau chinois.

Cable car

17e jour – 21 juillet

Petit tour en voiture le matin le long des quais, secteur de la ville très animé puis passage par le Golden Gate, un des must de la ville. Après midi ballade à pied par ces mêmes quais et visite de la baie en bateau avec passage sous ce même Golden Gate et vue de près sur Alcatraz. Au final, plus de 5 heures de marche citadine, retour à l’hôtel pour une soirée « faire les valises ».

Golden gate
Alcatraz
Petit clin d’œil à Tex Avery

18e jour – 22 juillet

Voila, dernier jour de vacances, on va quitter l’hôtel, rendre la voiture et prendre l’avion pour la France. Les vacances sont finies.

Vacances finies en gardant le sourire

Quel bilan en tirer ? Tout d’abord un bilan carbone déplorable : Aller-retour en avion, une grosse voiture de location bien puissante dont la clim a fonctionné les ¾ du voyage. Idem pour les hôtels où la climatisation a été bienvenue. Bref, on s’est fait plaisir mais je ne suis pas sûr que la planète aille mieux après nos vacances.

Vue sur la fonte de la banquise

 Sinon, de manière plus égoïste, c’était magnifique. Des paysages fabuleux nous ont accompagnés tout au long du voyage, des lieux exceptionnels nous ont ravis. La taille de la région y est aussi pour quelque chose : c’est gigantesque et peu peuplé, on a quelquefois l’impression d’être les seuls à profiter du paysage.

Si vous avez envie de grands espaces et de dépaysement, n’hésitez plus, cassez votre tirelire et faites comme nous. D’ailleurs vous ne serez pas si seuls, on croise beaucoup de français sur ces secteurs, il y a des jours où on entends plus parler français (et québécois) qu’anglais.